Comment adapter son alimentation à une faible activité physique ? Les conseils de votre nutritionniste à Poitiers

Comment adapter son alimentation à une faible activité physique ? Les conseils de votre nutritionniste à Poitiers

Vous êtes actuellement dans l’impossibilité de pratiquer une activité physique régulière en raison d’un emploi du temps surchargé ou d’un repos ? Vous devez revoir votre régime alimentaire afin de minimiser les risques pour la santé d’un excès par rapport à vos nouveaux besoins nutritionnels !

Les besoins moyens caloriques d’une personne faisant peu d’activité physique

D’emblée, il faut savoir que nos besoins énergétiques varient suivant de nombreux facteurs, dont l’âge, le sexe et l’activité physique. Lorsqu’on pratique peu d’activité physique, nos besoins caloriques diminuent, il faudra alors réduire l’apport nutritionnel afin d’éviter les risques de surpoids, ou d’obésité.

Il est difficile de définir un chiffre précis pour les enfants entre 3 et 18 ans faisant peu d’activité physique, dans la mesure où ils sont en pleine croissance. On peut toutefois avancer quelques chiffres après 18 ans.

Ainsi, après 18 ans, il est conseillé pour un homme adulte ne pratiquant pas d’activité physique régulière de consommer en moyenne 2 100 kcal par jour. Ce nombre est abaissé à 1 800 calories par jour pour une femme adulte. Aux séniors de plus de 71 ans, on conseille de garder lemêmes apports caloriques pour les aider à maintenir leur forme physique : 2000 Kcal par jour pour les hommes, 1550 Kcal par jour pour les femmes.

Quels aliments privilégier et éviter ?

Lorsqu’on pratique peu d’activité physique, il est conseillé de privilégier les légumes (concombre, courgette, épinard, asperge…). Ils ont pour avantage d’être riches en fibres et en eau et sont donc rassasiants et peu caloriques.

Il n'y a pas d'aliment à éviter absolument : il faut juste consommer certains aliments avec modération. On réduira ainsi la consommation d’aliments ultra-transformés tels que les snacks sucrés/salés/gras, les pizzas industrielles ; les confiseries, les boissons énergétiques… Bref, tout est question de dosage. Il faut garder à l’esprit que manger doit aussi être un plaisir. Manger les choses que l’on aime peut être une source de motivation et de réconfort lorsqu’on est dans une situation de détresse importante.

Si vous êtes actuellement dans l’incapacité de faire une activité physique régulière, n’hésitez pas à me contacter pour vous concevoir un régime alimentaire adapté à votre situation. Adressez-moi un message via mon formulaire de contact ou appelez-moi directement !